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Dernièrement, j’ironisais sur la faible empathie de certains sites nippons vis-à-vis de certains pays autrefois envahis par l’empire du soleil levant.
Il y a trois jours j’ai été voir l’expo « l’esprit mingei », au musée des arts premiers, où j’ai entendu parler de Yanagi Soetsu, critique japonais promoteur de l’art populaire qui a voulu contribuer à la reconnaissance de productions coréennes, en pleine période coloniale. Je cite cela ici : ça nuance la vision qu’on peut avoir de cette époque.
Tout cela est d’autant plus compliqué qu’il semble bien que la reconnaissance d’une certaine richesse culturelle ait également servi d’argument à l’entreprise coloniale, qui s’est d’avantage basée sur l’idée d’une parenté entre Corée et Japon que sur celle d’une infériorité de race.
Il y a trois jours j’ai été voir l’expo « l’esprit mingei », au musée des arts premiers, où j’ai entendu parler de Yanagi Soetsu, critique japonais promoteur de l’art populaire qui a voulu contribuer à la reconnaissance de productions coréennes, en pleine période coloniale. Je cite cela ici : ça nuance la vision qu’on peut avoir de cette époque.
Tout cela est d’autant plus compliqué qu’il semble bien que la reconnaissance d’une certaine richesse culturelle ait également servi d’argument à l’entreprise coloniale, qui s’est d’avantage basée sur l’idée d’une parenté entre Corée et Japon que sur celle d’une infériorité de race.
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